Mix entre un maki et un burrito boosté aux stéroïdes Nippon, le hand roll se déguste avec les mains. Une feuille d’algue nori craquante, du riz et de l’imagine. Étonnamment, ce sont les sushi, la spécialité de Vendôme, Toro et caviar, très réussi. À noter que l’appellation « toro », je m’attendais à du o-toro, le top du top, mais il s’agissait du chu-toro, un peu moins gras mais tout aussi bon. Le riz était un peu sous cuit. Rien à redire sur les hand roll à part celui au thon gras (encore lui) qui m’a laissé un arrière goût désagréable. Le vrai gros reproches c’est la vitesse du service : une heure pour 5 hand rolls, ce n’est pas très rapide. Addition vite salée à plus de 50€ à personne sans faire de folies. Le prix de la mode culinaire…





