En attendant, le nouveau restaurant de l’ancien chef de Sushi B, Masayoshi Hanada, en novembre, nous sommes allé à l’hôtel Meurice pour un pop éphémère. Selon certains, notre chef du jour serait le meilleur Japonais présent en Europe. Et je pense qu’ils ont raison : la seiche de Quiberon, la daurade royale de Noirmoutier, la langoustine d’Islande, le sushi au riz noir « Anari, mais surtout la sériole maturée trois semaines avec du yuzu kocho et le o-toro snacké avec piment d’Espelette sont absolument fabuleux. Je ne vous parle pas des plats imposés par Ducasse en entrée qui ne sont pas représentatifs du chef ni de l’immonde dessert de Grolet. Je retiendrais la délicieuse glace au yuzu et le verbial assistant Taïwanais Dani à la langue bien pendue ! Unique.






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